Information sur le projet
ŸPour le compte de : Communauté d’agglomération de
l’agglomération de Blois
ŸContacts : C. Degruelle,
président, Jane Dumont – chargée de mission
paysage – 02 54 90 35 28
Montant de l’étude : 95.595 €
HT (part Maîtres du Rêve
28.000 €HT)
Maîtres du Rêve participe à un groupement piloté par
Follea-Gautier paysagistes & urbanistes
Quand on est château de la Loire, connecté à la véloroute
de la Loire, on ne peut décemment pas laisser son agglomération
connaître le sort de nombre des conurbations de France, nées du
rapprochement spontané et peu raisonné de nombreux hameaux
villages et villes.
Agglopolys s’est donné un mot d’ordre : faire du paysage
au quotidien un lien bonifiant le cadre de vie des
résidents et motivant une attention particulière de tous
ceux qui ont un intérêt à agir en la matière.
La présence de l’école du paysage, du site du festival des
jardins de Chambord et d’initiatives singulières autour du
classement du val de Loire ont contribué à une gouvernance
locale de l’agglomération prête à relever le défi de
l’excellence paysagère.
Pour autant si gouverner c’est prévoir, il y a fort à
faire pour que chacun, des agents instruisant les permis de
construire aux agriculteurs, des élus locaux aux riverains,
s’approprie cette ambition d’excellence.
Comment identifier les points noirs d’une agglomération
que l’histoire ne prédisposait pas depuis les bombardements de
la dernière guerre à une attention particulière au paysage, par
ailleurs maillé de ressources rares comme la Sologne de la
forêt et des étangs, le val de Loire et les vignobles de
Chambord ?
Si la pédagogie de la lecture du paysage relève de
l’intervention du paysagiste Follea, Maîtres du rêve est chargé
de l’expertise touristique et environnementale et de
l’animation des ateliers et séquences d’aide à la décision pour
tous ceux qui feront le paysage de demain.
Blois Chambord sort grandi de l’expérience d’une
bonification du territoire au quotidien, pour la satisfaction
de ses résidents comme de ses visiteurs par exemple à
l’occasion de ses « fenêtres créées sur la Loire » au
travers du cloisonnement des forêts, ou de la suppression de
vestiges industriels ou de station service sur les bords de
Loire en plus des itinéraires doux qui jalonnent désormais le
territoire et de la mise en valeur des bourgs de
caractère.